Sombres et éternelle souffrances,
S'insinue en moi comme une transe.
De retour pour me tourmenté,
Aucun répits pour le condamné.
Assailli sans cesse par ce funeste destins,
De ne jamais prendre un amour par la main.
Maudit et abandonné à mon triste sort,
La solitude appel la mort.
J'aspire à cette fin tragique et à sa tentation,
En opposent aucune résistance.
Pour moi ce sera une libération,
Adieux sombres souffrances.