Debout au milieux d'un champ dans état léthargique
Je ne distingue que les ombres des horreurs, c'est tragique
Des corps innombrables tombe autour de moi
Tout ces lâches qui fuie la mort, cela me déçois
Les cris et les souffrances retentisse
Le sang et la chaire voila qu'elle est mon vice
La folie prend bientôt possession de mon âme
Pour mes crimes je ne veux aucun blâme
Ou bien était-elle déjà présente je ne sais plus
C'est ma nature, un monstre qui est réapparu
J'entaille, j'écorche, je découpe et je tue
Je me repais de ce liquide vital
Aucune victime n'échappe à ma vue
Un véritable banquais c'est un régale
Le sang ne s'arrête plus de coulé
Et bientôt je vais sombré
Les enfer m'appel
Dans un voyage vers les limbes éternel
Bienvenu au purgatoire, êtes vous près à prendre mes espoirs
La nuit tombe, le jour s'enfuie et les ombres doucement vont croitre
Je perd la notion du temps
Je donnerai tout pour une goute de sang
Les démons du passé, vont vite me retrouvé
Passant devant Cerbère les membres écartelé
Toutes ces âmes déchues qui s'amènent devant moi
Accueil macabre des forces en présence, farouche je me débat
Doucement ils s'immiscent en mon corps
Les hurlements, la douleur comment puis je être mort...